hiver 1901:nous somme le 24 octobre ,il est déja prés de minuit et je ne trouve pas le someil .Je tourne en rond dans la chambre je dois sortir prendre l'air et me détendre .Dehort le froid me saisis malgrés que je sois emitouflé dans mon manteau une épaise fumée blanche sort de ma bouche, mes pas et le bruit de ma canne raisonent sur les pavés du quai que je longe.une petite brume m'envelope au fur et à mesure que j'avance.Je m'arrete mes yeux ne fixant rien de précis . le clapoti de la seine me tire de mes songes qu'elle heure peut il être? je me décide a revenir sur mes pas lorsque j'apperçois une forme le long de la berge je m'approche et m'appercois que c'est une fillette a premiere vue elle n' a même pas douze ans j'ai du passé a coté sans la voir perdus dans mes pensés elle me souris a présent .
_Qu'attendé vous ici dehort a une heure si tardive jeune demoiselle lui demandai-je
_j'attendai votre venu me dit t'elle toujours avec son sourire
surpris de cette réponce je la regardé quelques secondes jouer avec c'est pied qui se balanaient frénétiquement au dessus de l'eau elle se leva pris ma main et m'emmena je ne savais que dire "j'attendai votre venu cette phrase se repettais sans arret dans mon esprit "nous marchames prés d'une heure je ne dit pas un mot elle ne se tue a aucun moment cette fillette derriére sont regard angelique ses soulier noir vernis avait le parlais d'une dame au long vécus je l'écoutai troublé nous arrivame sur une hauteur ou nous dominions la ville nous nous assimes et je lui demandé.
mais n'a tu dont pas d'endroit ou aler de parent qui s'inquietent ?
pour la premiere fois depuis notre rencontre elle ne dit plus un mot quelque seconde s'écoulaire puis elle me dit en regardant les lumiere blafardes de Paris c'est ici chez moi les habitants sont ma famille mes parents mes amis ils sont mon passé mon présent et mon future
elle me regarda puis me dit et vous pourquoi m'avais vous laissé vous guidé ici ?
je lui rétorqué que je ne savait pas j'avais sans doute était laissé guidé par la curiosité je n'avait plus rien a perdre j'avais mis peu de temps auparavant ma famille en terre terrasé par la maladie
le chagrin et le déséspoir dirigé désormé ma vie alors pourquoi avoir peur d'une enfant qui me rappelé tand ma fille .
elle se leva m'enlassa comme si j'était sont perd je sentit une vive douleur qui disparut tant elle me serrai fort dans c'est bras elle avait une force surprenante presque iréel lorsque elle relacha son etrainte elle se retourna et s'enfuit .
Je me sentit fatigué vider je rentrai chez moi et m'allonga .
depuis se jour tout a changé je vis les choses d'un autre oeil mes besoin étaient différents
je vous raconte cela car aujourd'hui j'ai 131 ans nous somment le 27 avril 2008 et le temps n'a aucun effet sur moi je regarde la ville s'annimé sous cette lune blanche ils sont ma famille ma famille mes amies mon passé mon présent mon future et surtout depuis ce baisé qu'une enfant laissa impreigner dans mon cou ce sont aussi mes proies!!!! je vous laisse maintenant j'ai le gout du sang frai dans la bouche et mes canines s'impaciente j'ai soif.....................
by NaOCl